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Tout public Prendre le temps de flĂąner dans un cadre naturel apaisant
 Balade 1 tout public / Ă  pied ou Ă  vĂ©lo Le Blavet est le plus long fleuve cĂŽtier de Bretagne. Il prend sa source dans les CĂŽtes d’Armor, Ă  15km au sud de Guingamp et se jette dans l’OcĂ©an Atlantique dans la rade de Lorient 150km plus loin. Le long du Blavet, le chemin du halage est idĂ©al pour des balades Ă  vĂ©lo, en rollers, Ă  pied, ou mĂȘme Ă  cheval 58km de voie verte s’offrent Ă  vous sur un terrain plat, entre Pontivy et Hennebont. Les paysages vous laissent profiter d’un dĂ©gradĂ© de verts au printemps ou en Ă©tĂ©, ou d’un dĂ©gradĂ©s de marrons, bruns et rouges en automne, le tout dans une atmosphĂšre de quiĂ©tude, bercĂ©e par le chant des criquets ou des oiseaux aux beaux jours ! Une balade reposante au coeur de la nature. Prenez le temps de le dĂ©couvrir, de vous arrĂȘter en chemin pour profiter de cette quiĂ©tude, de pique-niquer ou prendre un goĂ»ter au bord de l’eau ! Nous apprĂ©cions particuliĂšrement la portion entre Bieuzy et Saint-Nicolas des Eaux, tout simplement parce que la balade slalome au bord de l’eau, suivant les mĂ©andres du Blavet, tantĂŽt passant devant une Ă©cluse, tantĂŽt sous un pont
 Cette portion de chemin nous offre Ă©galement un point de vue exceptionnel sur la Chapelle troglodytique St Gildas XVIe siĂšcle sur l’autre rive, nichĂ©e au creux de la roche ! La balade le long du Blavet en vĂ©lo est particuliĂšrement adaptĂ©e aux familles car le terrain est plat. Ecluse de Gamblen, Bieuzy Balades 2 et/ou 3 – RandonnĂ©es pĂ©destres public ados/adultes Centre Morbihan Tourisme propose multiples randonnĂ©es pĂ©destres dont certaines portions vous invitent Ă  dĂ©couvrir les paysages du Blavet et les points de vue autour du Blavet. Les deux randonnĂ©es au dĂ©part de Bieuzy-les-Eaux, dont vous avez le dĂ©tail ICI, s’adressent plutĂŽt Ă  un public de bons marcheurs car la distance Ă  parcourir oscille entre 12 et 21km selon le circuit choisi Circuit des Landes du Crano et de Castennec, et incluent des portions de route. CĂŽtĂ© pratique, elles vous permettent de rĂ©aliser une boucle. Au vue de notre expĂ©rience sur le circuit, ces deux randonnĂ©es sont faisables avec des ados mais pas recommandĂ©es avec de jeunes enfants et inaccessibles aux poussettes du fait de quelques passages difficiles. Moment de quiĂ©tude le long du Blavet Afin de vous mettre en appĂ©tit, nous partageons avec vous quelques clichĂ©s de nos balades sur l’une ou l’autre des rives, notamment sur la portion entre Bieuzy-les-Eaux et St Nicolas des Eaux, ainsi que depuis Castennec Vue sur la chapelle St Gildas Des paysages variĂ©s, avec un passage sous un pont Sur l’autre rive aprĂšs la traversĂ©e du pont Ă  St Nicolas des Eaux, un sentier sur la gauche 100m plus haut avec une partie dans les sous-bois nous avons fait cette randonnĂ©e aprĂšs 2 mois de confinement, mai 2020, par consĂ©quent, il peut y avoir des branchages sur certaines portions de ce chemin dans les jours suivants le dĂ©confinement Sur le site de Castennec, un promontoire vous offre une magnifique vue sur la vallĂ©e du Blavet le promontoire est Ă©galement accessible en voiture Ă  Castennec, si jamais vous ne souhaitez pas randonner mais juste profiter de la vue Vue sur le Blavet depuis le promontoire de Castennec 200m aprĂšs le promontoire, sur votre gauche en remontant vers le centre de Castennec, un sentier escarpĂ© sur la fin descend Ă  travers bois vers le Blavet et notamment nous mĂšne au site de la Chapelle St Gildas RĂ©crĂ©atiloups ne peut ĂȘtre tenu responsable d’accident survenu sur le circuit. Et pour d’autres idĂ©es de randonnĂ©es en Centre Morbihan, c’est ICI AccĂšs Avis clients
2Jours. Seul, en famille ou entre amis, avec ou sans ùne, embarquez pour deux jours de randonnée à travers les Cévennes, le long du GR70 ou Chemin de Stevenson. Au programme : prÚs de 50 kilomÚtres d'itinérance sur les pas de Robert Louis Stevenson, du Pont-de-Montvert à Cassagnas, en passant par Florac. Vous ne connaissez pas Stevenson ?
Manger ou ĂȘtre mangĂ©, de Michael Köhlmeier - ExtraitPublished on Dec 12, 2016Parution le 16 fĂ©vrier 2017 Manger ou ĂȘtre mangĂ©, fable loufoque et cruelle, nar... Le Tripode

Citationsfrançaises le chemin est long citation - Page 2 : Aucun livre de qui que ce soit ne m'a jamais aidĂ© Ă  supporter quoi que ce soit. Sauf, peut-ĂȘtre les longs voyages en chemin de fer.

Les Cahiers croire La Bible contient de multiples rĂ©cits de repas. Pourquoi le rapport Ă  la nourriture y est-il si important ? Pauline Bebe, rabbin, auteur de Saisir le merveilleux dans l’instant Le Passeur Éditeur Ă  paraĂźtre en octobre 2015 Se nourrir rĂ©pond Ă  un besoin vital et frĂ©quent, commun Ă  tous, quel que soit son niveau de sagesse ou de richesse. La Torah ne pouvait passer sous silence cette nĂ©cessitĂ©. N’oublions pas que les HĂ©breux ont passĂ© plus de quarante ans dans le dĂ©sert et que, pour eux, boire et manger tenait du miracle. Il n’est pas anodin non plus que le premier interdit fait Ă  Adam et Ève au Jardin d’Éden concerne la nourriture Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. »L’essence mĂȘme du judaĂŻsme se trouve dans cette interdiction. La loi intervient pour freiner ce besoin trĂšs simple et place la rĂ©flexion avant la consommation. Se nourrir n’est plus un acte banal. Un espace s’instaure entre le dĂ©sir et la satisfaction de ce dĂ©sir. Ce dĂ©lai fait la diffĂ©rence entre l’ĂȘtre humain et l’animal. Le repas devient un chemin d’humanisation. Le judaĂŻsme serait-il alors une religion du repas ?P. B. Dans la tradition juive, il est dit qu’il faut parler de la Torah lorsque l’on se rĂ©unit pour un repas. Ainsi, l’un ne contredit pas l’autre. Le repas serait un prĂ©-texte » pour parler du Texte. Nourritures spirituelles et matĂ©rielles se rejoignent. Cette idĂ©e propre au judaĂŻsme prend sa racine dans la non-sĂ©paration du corps et de l’esprit, ce qui s’oppose Ă  une vision plus platonicienne, oĂč se trouve d’un cĂŽtĂ© le monde des idĂ©es et, de l’autre, le monde de la chair. Dans le judaĂŻsme, c’est un tout, unique. On trouve du spirituel dans la nourriture. Au cours du repas, on mange du spirituel et pas simplement de la matiĂšre. D’ailleurs, les priĂšres du dĂ©but et de la fin encadrent le repas, conçu ainsi comme un sandwich » entre les deux explique-t-il qu’il n’y ait pas de fĂȘtes sans repas partagĂ© ?Lorsqu’une famille ou une communautĂ© juive prononce une bĂ©nĂ©diction avant le repas – bĂ©ni sois-tu, toi qui fais sortir le pain de la terre » –, elle sait bien que ce n’est pas Dieu qui fait le pain, mais elle rend hommage Ă  la chaĂźne de production qui va du blĂ© jusqu’à la table et cĂ©lĂšbre l’émerveillement que reprĂ©sente la nourriture qui lui est donnĂ©e. La religion qui relie » les ĂȘtres humains s’est tout naturellement inscrite dans cette rĂ©alitĂ©. La nourriture Ă©tant un don d’amour, le repas est signe de cet amour. VoilĂ  pourquoi aucune fĂȘte juive ne se dĂ©roule sans un repas partagĂ©, auquel on associe la lumiĂšre, le chant et la danse. Les repas de fĂȘte ont une dimension prophĂ©tique ; ils nous font quitter l’ordinaire pour aller vers l’extraordinaire. Ils sont, encore aujourd’hui, un temps d’arrĂȘt et de conversation, Ă  condition de se libĂ©rer des objets Ă©lectroniques qui nous en dĂ©tournent ! Et cette conversation introduit un peu d’éthique et de relationnel dans notre Ă©voquez une Ă©thique du repas ? Il y a une Ă©thique du repas dans ce dĂ©sir de partage entre les individus, mais aussi dans l’idĂ©e de ne pas gaspiller la nourriture. On parle beaucoup de gaspillage dans notre sociĂ©tĂ©, mais ne pas jeter ni trop manger, ni trop peu, a toujours Ă©tĂ© une prĂ©occupation du judaĂŻsme. Ainsi, dans la Bible, la manne est donnĂ©e chaque jour, mais malheur aux HĂ©breux qui cherchent Ă  en faire des provisions. Elle pourrit aussitĂŽt. La nourriture reste un don goĂ»t et mesure doivent y ĂȘtre associĂ©s. → LIRE La manne, une nourriture terrestre et spirituelleL’éthique du repas consiste aussi Ă  connaĂźtre le code alimentaire juif de la kashrout, Ă  respecter la chaĂźne de production de la nourriture, Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  l’origine des aliments afin d’éliminer celui qui est spirituellement nĂ©gatif », comme par exemple celui qui provient d’animaux qui ont souffert, de salariĂ©s exploitĂ©s, dĂ©marche est hĂ©las oubliĂ©e par notre monde moderne, industrialisĂ© Ă  outrance. L’éthique, c’est aussi respecter la nature et ses saisons, afin d’éviter de longs transports, de la pollution et des productions intensives qui Ă©puisent les sols. Les fruits de la terre sont des cadeaux, les textes nous le disent. On nous a confiĂ© un jardin, il faut en prendre soin. Ce jardin auquel vous faites allusion serait-il le paradis ?P. B. Je dirais plutĂŽt le jardin de la dĂ©licatesse, car Éden signifie fin et dĂ©licat. On raconte Ă  ce sujet une belle histoire hassidique. Un homme est amenĂ© en enfer et voit des convives assis autour d’une table, qui ne peuvent pas plier le bras et qui ont des cuillĂšres en bois d’un mĂštre de long. Des mets dĂ©licieux sont disposĂ©s sur la table, mais ils ne peuvent pas y goĂ»ter. Ensuite, l’homme se rend au paradis, oĂč il voit exactement les mĂȘmes tables avec les mĂȘmes mets dĂ©licieux, et des convives qui eux aussi ont des bras qui ne peuvent se plier et qui tiennent les mĂȘmes grandes cuillĂšres. Mais au paradis, les convives ont appris Ă  se nourrir les uns les autres. Cette mĂ©taphore de la nourriture signifie que le paradis, c’est essayer de transformer la vie, de la rĂ©parer pour qu’elle soit la meilleure possible et, par consĂ©quent, de partager avec ceux qui sont en difficultĂ©.→ LIRE Comment la faim est-elle Ă©voquĂ©e dans l’Ancien Testament ?La bĂ©nĂ©diction du repas rappelle Ă  la tablĂ©e qu’il y a assez de nourriture pour tout le monde, mais que, hĂ©las, tout le monde ne mange pas Ă  sa faim ! Pour les juifs, chaque repas peut ĂȘtre un rappel de cela. Avec l’évolution de la sociĂ©tĂ©, le repas familial reste-t-il une rĂ©alitĂ© ?P. B. On voit bien aujourd’hui que la famille se dĂ©lite et qu’il y a moins de repas pris en commun, mais selon le judaĂŻsme libĂ©ral auquel j’appartiens, l’évolution de la sociĂ©tĂ© et les traditions religieuses s’accompagnent mutuellement. Pour les familles qui le pratiquent, le shabbat reste un moment important et les enfants, mĂȘme une fois qu’ils ont quittĂ© la maison, se rendent souvent chez leurs parents le vendredi le judaĂŻsme, la journĂ©e commence toujours le soir, aussi les fĂȘtes commencent-elles la veille au soir, ce qui rend la prĂ©paration aussi importante que le repas lui-mĂȘme. Comme on ne cuit pas le jour du shabbat, on passe une partie de sa journĂ©e de vendredi Ă  prĂ©parer le repas du soir et celui du samedi matin, afin que tout le monde soit prĂ©sent pour le dĂ©guster ensemble, y compris la personne qui a prĂ©parĂ© le repas. C’est le but ultime de tout repas. Pour que quelque chose de commun s’établisse, il est important de suivre les mĂȘmes codes, ce qui explique l’importance du le sĂ©der par exemple, le repas de la PĂąque juive, le rituel est encore plus prĂ©cis, ce qui en fait un repas diffĂ©rent des autres. Et cette diffĂ©rence mĂȘme va susciter les questions des faire du repas un lieu d’apprentissage spirituel ? P. B. La spiritualitĂ© se trouve dans l’expĂ©rience commune, partagĂ©e. Le sĂ©der est un repas familial qui commĂ©more la sortie d’Égypte des HĂ©breux et sa vocation pĂ©dagogique est capitale. C’est au cours du sĂ©der que se fait l’essentiel de la transmission de la foi, en se fondant sur une injonction biblique qui dit Tu raconteras Ă  ton enfant. » Tout au long du repas, les parents rĂ©pondent aux questions des enfants. Et c’est toujours le plus jeune qui pose la premiĂšre question rituelle En quoi cette nuit se distingue-t-elle des autres nuits ? » Viennent ensuite d’autres questions sur les nourritures proposĂ©es et les rites accomplis au cours du repas. Avec cette intimitĂ© entre la nourriture et la spiritualitĂ©, on comprend mieux pourquoi les lois alimentaires sont si prĂ©gnantes dans le judaĂŻsme. Le repas, en revenant rĂ©guliĂšrement, permet de donner une dimension spirituelle Ă  un acte accompli plusieurs fois par jour. Certains rabbins disent que depuis la fin des sacrifices et la destruction du Temple de JĂ©rusalem, la table est devenue l’autel et la maison, un temple. LIRE AUSSI → Du repas du Seigneur Ă  l’eucharistie→ Le repas des noces Ă©ternelles dans la Bible→ Se nourrir un exercice spirituel Ă  la façon d’Ignace de Loyola
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Lechemin est facile et suis le canal sur pratiquement toute l'étape. La journée est belle et on ne croise pas un chat. Sur la place d'Auvillar, c'est nettement différent. La place principale accueille la foire aux potiers et draine pas mal de monde. Le baladin est plein, nous cherchons donc un autre gite dans les rues adjacentes à la place.

Chemin de Saint-Guilhem-le-DĂ©sert D’Aubrac village au Col de TrĂ©batut via Nasbinal. TroisiĂšme jour sur le chemin de St Guilhem le dĂ©sert. Selfie du jour, bonjour. Voila ce qui est tombĂ© cette nuit ! Gloup On est encore dans l’enceinte de notre gĂźte que dĂ©jĂ  les conditions mĂ©tĂ©orologiques font lĂ©gĂšrement peur. Ce matin, nous avons rendez-vous Ă  8h30 avec Sylvain Ă  Aubrac. Aubrac village ! Nous avions prĂ©vu de faire la variante des Rajas ensemble. Cette variante nous aurait menĂ©s au cƓur de l’Aubrac, au milieu d’un grand rien minĂ©ral. Mais il neige depuis hier aprĂšs-midi et il y a eu une tempĂȘte cette nuit, il y a donc plus de 40 cm de neige sur les sentiers. Nous faisons donc une rĂ©union au sommet, car on vient de nous prĂ©venir qu’il est impossible – car impraticable et imprudent – , de prendre le chemin vers les Rajas. Et Ă  ce moment-lĂ  j’ai presque envie de pleurer, car j’ai souhaitĂ© faire le chemin de St Guilhem en partie pour cette portion , qui est la plus belle du sentier, et me fais rĂȘver depuis que j’ai l’idĂ©e de faire cette randonnĂ©e et qui est justement la photo de couverture du topo guide. Mais marcher 24 km dans 40 cm de neige, sur un sentier non balisĂ© et sans aucune visibilitĂ©, il faut bien se rendre Ă  l’évidence, c’est impossibles ! Deux options s’offrent donc Ă  nous soit nous rejoignons St ChĂ©ly d’Aubrac Ă  8 km pour Ă©ventuellement tenter de trouver un taxi pour nous mener Ă  notre destination du soir, mais rien de sĂ»r et dans la direction complĂštement opposĂ©e Ă  notre destination finale, soit rebrousser chemin vers Nasbinal puis prendre la direction du Col de Bonnecombe et enfin le Col de TrĂ©batut pour l’Auberge du Radal, notre destination de ce soir. Nous optons pour le choix 2 en espĂ©rant trouver une voiture pour nous avancer un peu, car nous avons 30 km Ă  faire aujourd’hui, tout cela dans la neige, le vent et le grĂ©sil qui nous fouette toujours autant le visage. Les parents de Sylvains dĂ©clarent forfait, et arrĂȘtent lĂ . Nous prenons donc la route Ă  3, le chasse-neige n’est pas encore passĂ©. Nous croisons en route une voiture embourbĂ©e sur le bas cĂŽtĂ©. Sylvain s’arrĂȘte pour aider le gars, Isa et moi continuons. Peu de temps aprĂšs, s’arrĂȘte Ă  notre niveau un gros 4×4 avec Sylvain Ă  l’intĂ©rieur oh joie. Le monsieur nous dĂ©pose Ă  Nasbinal et nous souhaite bonne chance pour la suite ! Nous venons de gagner 5 km. Youhou! À Nasbinal, nous prenons donc la D52, qui vient tout juste d’ĂȘtre dĂ©neigĂ©e ouf et s’est partie pour 17 km de montĂ©e vers le col de Bonnecombe. Dans le vent et la bonne humeur 🙂 La route monte gentiment, mais nous avançons dans un brouillage complet, le vent et la neige nous fouettent le visage, nos ponchos souffrent tellement que quelques boutons pression se dĂ©chirent. Sylvain commence Ă  souffrir Ă©normĂ©ment d’ampoule. Pour Isa et moi, ça va, nos pieds tiennent le choc. On devine Ă  peine le chemin parcouru. 17 k avec l’impression de faire du surplace, c’est long ! Il fait tellement froid et humide qu’il nous est impossible de faire une pause pour grignoter un truc, je sors donc mon tube de lait concentrĂ©, que je bois petit Ă  petit en route, cela me redonne des forces. ArrivĂ©s au col de Bonnecombe, nous trouvons une table Ă  l’extĂ©rieur d’un petit resto fermĂ© pour nous reposer 5 min. Sylvain n’en peut plus, il a vraiment trĂšs mal. Il dĂ©cide d’appeler Mr Dauban le gĂ©rant de notre auberge du soir pour lui demander s’il pourrait venir nous chercher, il reste environ 4-5 km. Il est OK, et nous dit qu’il sera lĂ  dans 1/2 h. En l’attendant, nous en profitons pour manger nos sandwichs, mais il fait tellement froid avec toute cette humiditĂ© et ce vent qu’Isa et moi aurions prĂ©fĂ©rĂ© continuer Ă  marcher, surtout qu’on se sentait d’attaque pour terminer ces 5 km. D’un coup, une superbe mercedes arrive ! Nous avons presque honte de grimper dedans tellement nous sommes sales ! Nous arrivons dans notre chambre surchauffĂ©e avec un grand plaisir, mais avant de penser Ă  nous reposer nous avons notre lessive Ă  faire, nous sommes sales des pieds Ă  la tĂȘte ! Et Ă  partir d’aujourd’hui, commence la course Ă  faire sĂ©cher notre linge sur les radiateurs de nos chambres. Sympas comme dĂ©coration Une fois propre, direction sous la couette avec notre bouquin, on est rincĂ©es. C’est un peu Ă©trange pour moi, car je suis en train de relire la gloire de mon pĂšre de Marcel Pagnol, les cigales chantent dans ma tette alors que mon corps grelotte de froid. Nous sommes les seuls pensionnaires ce soir, nous prenons une pression en apĂ©ro, je ne suis pas trĂšs biĂšre en temps normal, mais lĂ  je l’apprĂ©cie. Puis le repas arrive potage, saucisse, lĂ©gumes et pommes de terres avec des fĂšves et une salade de fruits en dessert avec le repas est compris un pichet de vin rouge. C’était trĂšs bon. Nous avons vraiment passĂ© une trĂšs belle soirĂ©e, le gĂ©rant est venu nous rejoindre aprĂšs le repas, nous avons parlĂ©, entre autres, de randonnĂ©e, de l’Aubrac, du chemin de St Guilhem aussi. Nous faisons partie des premiers Ă  l’emprunter, car il n’est balisĂ© que depuis peu de temps. Demain, nous quittons l’Aubrac. Une chose est sure je reviendrai! Etape 3 DĂ©part Aubrac Village 8H15 ArrivĂ©e Col de TrĂ©batut 14h20 Le guide de la randonnĂ©e Le chemin de Saint-Guilhem-le-DĂ©sert LozĂšre – Aveyron – Gard – HĂ©rault HĂ©bergement Col de TrĂ©batut Auberge du Radal Col du TrĂ©batu 48100 Les Salces

Quece soit pour dĂ©corer une petite salle Ă  manger ou pour crĂ©er un coin-repas confortable, cette table compacte est une option idĂ©ale pour votre espace. FabriquĂ©e en bois d'hĂ©vĂ©a massif, cette piĂšce comporte un plateau rond avec deux rallonges rabattables pour vous permettre d'asseoir entre deux et quatre personnes. Les dĂ©tails tournĂ©s le long de la base en piĂ©destal apportent VoilĂ  une bonne petite balade en pays d’Armance. Une rando de 7,8 km sur le circuit du Boutois », entre champs et bois. Point de dĂ©part la chapelle Saint-Joseph de Villeneuve-au-Chemin. Aucune difficultĂ©, que du bonheur ! Retour au point de dĂ©part aprĂšs une montĂ©e de 200 m vers la chapelle Saint-Joseph-des-Anges. cccccccccccccccccccccccc PubliĂ© 31 juillet 2022 Ă  06h20 Temps de lecture 3 min Le pays d’Armance ne manque pas de chemins oĂč randonner. Par exemple du cĂŽtĂ© de Villeneuve-au-Chemin. Un Chemin » qui en l’espĂšce fait rĂ©fĂ©rence non pas Ă  un sentier de randonnĂ©e mais Ă  une voie romaine la via Agrippa laquelle se confond aujourd’hui avec la N77. Car l’histoire du village remonte Ă  l’AntiquitĂ© quelques habitations. En 1178, il fait partie des Villes neuves » créées par Henri le LibĂ©ral, comte de Champagne, qui ajoute le Chemin ». Des prĂ©cisions qu’on trouve sur la Fiche rando nÂș13 ». En lisant cette fiche, on apprend aussi l’essentiel sur la chapelle Saint-Joseph-des-Anges, connue des Aubois pour sa statue de la Vierge haute de 7 m, qu’on aperçoit de loin. Elle fut construite de 1854 Ă  1892 par l’abbĂ© Cardot, curĂ©e du village. DĂ©couvrir plus de vidĂ©os Le tourbillon des papillons De nos jours, la chapelle marque le point de dĂ©part du circuit du Boutois ». Une rando de 7,8 km, familiale et facile, au cours de laquelle on longe Ă  deux reprises le Boutois, l’un des ruisseaux qui alimentent l’Armance. TrĂšs vite, on arrive au village, on repĂšre le balisage blanc et jaune, on traverse la 77 et on prend », au premier croisement, la rue des Grandes-Fontaines. DĂ©but de rando dans le village avec un balisage blanc et jaune on peut partir tranquille. C’est au lieu-dit du mĂȘme nom que furent retrouvĂ©es des tuiles et poteries du temps des Romains. Pas d’hier, les premiĂšres clĂŽtures barbelĂ©es apparaissent. Nous voilĂ  en pleine nature. Le Boutois coule doucement sous le soleil d’étĂ©. À un moment, on marche le long d’une grande haie sauvage. Puis d’un coup, le chemin devient plus Ă©troit, plus herbeux. On longe le bois en ayant les pieds au frais le matin, l’herbe est humide. En chemin Ă  travers champs avant de longer le bois oĂč coule discrĂštement le Boutois, un ruisseau. On remarque un tourbillon de papillons – ils ne se laissent pas photographier facilement ! Du cĂŽtĂ© des oiseaux, c’est Ă©galement la fĂȘte. Les tourterelles rĂ©pondent Ă  on ne sait trop quel interlocuteur Ă  bec et Ă  plumes. Blanc est le chemin Le chemin serpente de plus belle. Par-delĂ  un grand champ de tournesol Ă©mergent des toitures on n’est pas loin du Mareau, hameau de Coursan-en-Othe. À mi-parcours, le chemin est herbeux et humide... mais il y a du soleil». VoilĂ  d’ailleurs la D1, qu’on quitte pour un chemin blanc, direction
 Villeneuve – le retour est amorcĂ©. Entre bois et versant, cette seconde partie de rando est trĂšs agrĂ©able. En passant devant, on est tentĂ© de faire une pause Ă  l’ombre d’un Ă©dicule encaissĂ© d’oĂč provient un bruit d’eau qui s’écoule. Seconde partie de balade entre bois et versant pas possible de se tromper de chemin. À l’horizon, la Vierge de fonte rĂ©apparaĂźt. Ce n’est pas aujourd’hui qu’on s’égarera. Retour au village. Avec halte au lavoir, posĂ© sur
 le Boutois, bien sĂ»r. MĂȘme si ce n’est pas le plus beau, il mĂ©rite un coup d’Ɠil. L’église Saint-Jean Baptiste, c’est autre chose. BĂątie au XIIe siĂšcle, elle a Ă©tĂ© entiĂšrement reconstruite au XIIIe », indique la fiche rando. La halte touristique de la chapelle Saint-Joseph est maintenant proche. Rando terminĂ©e. Circuit du Boutois » 7,8 km 1 h 30 – 2 h. Niveau facile. Point de dĂ©part halte touristique de la chapelle Saint-Joseph-des-Anges, Ă  Villeneuve-au-Chemin. Documentation/carte Fiche rando en pays d’Armance nÂș13 ». TrĂšs utile, mĂȘme si le balisage blanc et jaune est correct. Office de tourisme Ervy-le-ChĂątel 03 25 70 04 45. Infos Lire aussi À deux heures de la Champagne une plongĂ©e dans l’histoire Ă  Bar-le-Duc La sortie prĂšs de chez vous ChĂąteauvillain vue du circuit des fortifications Une FĂȘte du verre plus ambitieuse Ă  Bayel Poursuivez votre lecture sur ces sujets Villeneuve-au-Chemin Aube . 140 377 287 487 351 146 298 307

mange et bois car le chemin est long