TECHNO - Une première conférence annuelle de la mission "France très haut débit" s'est tenue le 6 février. Objectif faire le point sur le développement du très haut débit en France et confirmer l'objectif du gouvernement. A savoir raccorder 100% des foyers français au très haut débit d'ici 2022. TECHNO - Une première conférence annuelle de la mission "France très haut débit" s'est tenue le 6 février. Objectif faire le point sur le développement du très haut débit en France et confirmer l'objectif du gouvernement. A savoir raccorder 100% des foyers français au très haut débit d'ici 2022 et en passant par une première étape fixée à 50% de foyers en très haut débit en 2017. Il a aussi été précisé quels étaient les moyens, dont ceux financiers, mis en place pour l'atteindre. 20 milliards d'euros d'investissements 20 milliards d'euros seront donc mobilisés, selon une logique de complémentarité entre investissements privés et publics. Les zones conventionnées, qui sont les zones les plus denses, représentent 57% de la population elles seront desservies d'ici 2017 par les opérateurs privés qui y consacreront 6 à 7 milliards d'euros. Les zones non-conventionnées, qui sont les zones rurales, concernent 43% de la population. Le déploiement du très haut débit y sera plus cher et coûtera 13 à 14 milliards d'euros. Les collectivités territoriales sont en charge de déployer les réseaux. Elles seront aidées à hauteur de 3 milliards de subventions d'État. S'agissant des zones rurales Le cuivre n'est pas fini, mais la transition du cuivre vers la fibre va s'accélérer. Le rapport de la mission Champsaur a enfin été remis officiellement aux ministres en charge de l'Economie et du Numérique, et Yves Rome, président de l'AVICCA Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel, a demandé que ces préconisations soient mises en œuvre rapidement, notamment la création d'un statut de "zone fibrée", concept intégrable à la loi Macron. Le communiqué demande également que les collectivités et l'Etat n'aient plus à financer la partie "cuivre" lors des opérations de montée en débit, mais seulement la partie "fibre". C'est parfaitement possible. Les prix viennent de baisser pour les petits PRM, parce qu'une partie des coûts est désormais affectée à la boucle locale cuivre. "Pourquoi pas la totalité?", suggère l'AVICCA. Sur un chiffre d'affaires du réseau cuivre de plusieurs milliards par an, cela ne représenterait que quelques centimes par ligne. En outre, une modification du cahier des charges du plan "France THD" pour les réseaux d'initiative publique doit permettre l'augmentation des aides au raccordement pour les zones fibrées, en économisant sur les aides au réseau cuivre. Autant d'avantages inscrits au bénéfice des zones peu denses comme des zones rurales. Autant de perspectives qui ont retenu l'attention de l'Association des maires ruraux de France, très attachée à ce que ces territoires, comme trop souvent, ne soient ni les parents pauvres, ni les derniers servis. La forte implication de l'ARMF L'AMRF souligne que face aux enjeux du déploiement des outils numériques et à l'émergence de futures applications, notre pays a un rôle singulier dans leur appropriation par tous. Pour ce faire, il convient donc de combler les écarts d'accès au très haut débit, de prendre en compte les spécificités du monde rural, dont l'AMRF rappelle qu'il s'agit là d'une "part majoritaire de notre pays" et alerte, à la fois, le législateur et l'exécutif sur les conditions de réussite d'une transition numérique pour tous. Incontestablement, la commune est un acteur incontournable dans cet effort de structuration des réseaux et, ajoutons-le, de l'encouragement des usages. Cet encouragement, convenons-en, n'est pas toujours à la hauteur de l'enjeu. Des barrières culturelles sont, parfois, autant d'obstacles imparfaitement dépassés. Certains acteurs politiques locaux sont encore timides et éprouvent des difficultés à intégrer cette évolution. En particulier, à réaliser pleinement que, désormais, le développement local devra rimer avec le numérique. L'AMRF, qui déploie de très louables efforts sur ce terrain, prêche en ce sens et voit dans la loi de programmation sur le numérique une opportunité pour que tous les territoires soient considérés à parts égales dans leur potentiel de concours à la croissance. Elle plaide, très concrètement, pour un aménagement numérique du territoire par le développement d'un système de "mairie numérique" qui préconise, par exemple l'affichage des décisions du conseil municipal sur le site internet de la communeune possibilité donnée aux citoyens de participer à l'enrichissement des bases de données de l'Etat pour améliorer les SIG et accroître l'information accessiblela mise à disposition d'une offre gratuite d'outils collaboratifs "dans le nuage"le développement de compétences numériques du personnel grâce à un MOOCla promotion des espaces publics numériques et des "cafés du village connectés", comme moyens de désenclavement économique et de recréation de liens sociauxla mise en place d'une formation à distance pour les élus, destinée à une sensibilisation aux enjeux de l'ère numérique du maire et de ses conseillersla mise à disposition d'un espace de stockage "cloud" sécurisé et gratuit pour chaque commune L'exemple de la Seine-et-Marne La Seine-et-Marne n'est pas le seul exemple de la réussite des efforts fournis par un département en faveur de ses territoires ruraux mais, chacun pour y avoir œuvré de concert et quelles que soient les sensibilités politiques locales, convient du fait qu'il s'agit là d'une belle réussite. Le syndicat mixte Seine-et-Marne Numérique vient de s'engager dans un vaste programme d'aménagement numérique qui va progressivement apporter la fibre jusqu'à l'abonné sur le territoire rural seine-et-marnais. Pour son président, "ce programme ambitieux apporte dès à présent, sur des périmètres souffrant de faibles débits, une solution d'amélioration sensible des accès internet des abonnés. C'est le cas du territoire de la communauté de communes du Gâtinais - Val de Loing, sur lequel six opérations de montée en débit consistent en un premier déploiement de fibre optique permettant de doper le débit des lignes ADSL de 1 021 foyers, sans avoir à intervenir chez l'abonné". Ainsi, l'entrée en service commercial de ces nouvelles installations va permettre aux habitants de petites, voire de très petites communes, de voir le débit dépasser 10 Mbit/s sans rien avoir à modifier sur leur installation, quel que soit leur fournisseur de services. Réalisée sous la maîtrise d'ouvrage de Seine-et-Marne Numérique, ces travaux sont financés par l'État, dans le cadre du plan "France très haut débit", la région Île-de-France, le département de Seine-et-Marne et la communauté de communes concernée. Ce projet s'inscrit dans un plus large programme qui comptera près de 85 opérations de ce genre en Seine-et-Marne, soit environ foyers concernés, pour un montant d'investissement total de 15 millions d'euros financé sur le même modèle Etat/région/département/intercommunalité. Enfin, relevons que dans l'un des villages concernés 1 100 habitants, sous l'impulsion de ses habitants, un espace public numérique, inauguré par le président de Seine-et-Marne Numérique, vient d'ouvrir ses portes et projette à très court terme d'étendre son activité à l'impression 3D.
Avantage de la fibre optique n°5 : son rapport qualité / prix. Tous ces atouts pourraient laisser penser que le passage à la fibre optique professionnelle est coûteux. Avec les offres Bbox Pro et Pro+ (à partir de 24,99€ HT / mois la première année (1)) qui incluent toutes de nombreux services dédiés aux pros, il n’en est rien.
Paul Champsaur, ancien président de l’Arcep, a remis le 19 février dernier au ministre de l’Économie son rapport de mission sur les conditions du basculement progressif du réseau téléphonique historique de cuivre vers les nouveaux réseaux à très haut débit en fibre optique. Ce rapport s’efforce d’apporter des réponses opérationnelles à un débat qui agite le milieu des télécoms depuis plusieurs années. Face au faible niveau d’adoption de la fibre optique – 3,6 millions de prises pour seulement 311 000 abonnés en septembre 2014 – et à la lourdeur des investissements engagés, les collectivités territoriales préconisent des mesures fortes et, en particulier, la fixation d’une date d’extinction du cuivre », sur un mode comparable à ce qui a été mis en place pour le passage à la télévision numérique terrestre. La plupart des opérateurs télécoms privilégient de leur côté une transition en douceur, laissée à la discrétion des acteurs. Sans donner totalement raison aux uns ou aux autres, le rapport Champsaur insiste tout d’abord sur la complexité technique que représente le basculement du cuivre vers la fibre. De nombreux services, comme la télérelève, les alarmes d'ascenseurs ou la télémaintenance utilisent en effet le fil de cuivre pour des services qui n’ont pas véritablement d’équivalent avec la fibre optique. Par ailleurs, la transition du cuivre vers la fibre implique de préparer l’ensemble des acteurs concernés et un fort renouvellement des compétences. Néanmoins, Paul Champsaur estime qu’une action publique déterminée est absolument nécessaire ». La principale proposition concerne la création d'un statut de zone fibrée » pour les communes ou territoires qui seraient totalement desservies en fibre optique. Ce statut, accordé par l'État, déclencherait la mise en œuvre de mesures pour accélérer le basculement. Les tarifs d’accès au réseau cuivre, payés par les opérateurs, pourraient ainsi être augmentés pour créer un signal-prix défavorable au cuivre » et des aides seraient proposés aux particuliers pour favoriser leur raccordement à la fibre. L’Avicca 1, association qui réunit les collectivités territoriales investissant dans des réseaux télécoms, s’est félicitée d’un rapport qui réaffirme la nécessité de remplacer le réseau historique en cuivre par des réseaux de fibre optique ». Elle souhaite que la création des zones fibrées » soient intégrées dès à présent aux dispositions télécoms du projet de loi Macron lors de sa discussion au Sénat. L’association estime enfin que les collectivités locales investissant dans les réseaux fibre optique ne devraient plus avoir à financer la modernisation du réseau cuivre. 1 Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel Télécharger le Maire info sur Twitter Maireinfo2
Parrapport à d’autres options de connexion, la fibre optique peut évoluer avec votre entreprise. Les longueurs d’onde peuvent être activées et désactivées selon vos besoins, vous permettant ainsi de développer votre activité à votre guise. De plus, les fibres optiques sont plus légères que les options de câblage en cuivre traditionnelles.
Alors que la priorité est donnée au déploiement fibre, Orange doit entretenir le réseau cuivre pour la téléphonie et l'ADSL. Un rapport parlementaire veut imposer des mesures contraignantes et des indicateurs pour juguler les retards ... Orange cède la moitié de son réseau FTTH en zone rurale avec la création d'Orange Concessions et l'arrivée de trois investisseurs. La crise sanitaire du coronavirus a perturbé le processus d'attribution des fréquences 5G mais le directeur général d'Iliad souligne le danger économique d'un trop grand retard. Le lancement de la nouvelle Freebox de Free est décalé de quelques mois. Un retard imputé à la crise sanitaire du coronavirus Covid-19. Alors que les réseaux fixes et mobiles constituent plus que jamais un lien essentiel au milieu de la crise sanitaire, la commission de l'aménagement du territoire appelle l'Arcep à se montrer inflexible concernant les déploiements, ... Une nouvelle fois, nPerf fait d'Orange le champion des réseaux fixes. Free n'est pas loin, boosté par ses performances sur la fibre optique. Après la SFR Box 8, SFR lance à son tour une gamme d'appareils pour la maison connectée. Un pack connecté SFR Home. Le PDG d'Orange confirme un lancement de ses offres commerciales 5G pour le printemps 2020, le temps d'obtenir les fréquences cet automne. C'était prévisible. Avec une échéance en perspective, la bataille entre Altice France - pour les chaînes BFMTV, RMC Découverte, RMC Story - et Free s'accentue. La sanction touchant Altice et SFR pour non respect des engagements sur le déploiement conjoint de fibre optique avec Bouygues Telecom a été confirmée par le Conseil d'Etat après recours.
Bellvous promet la fibre, mais ce qui rentre chez vous, c’est du cuivre.» De son côté, Bell affirme offrir de la fibre optique jusqu’au domicile dans la grande région de Québec, la grande région de Montréal ainsi que la majeure partie de Gatineau et de Saguenay, avec des vitesses de téléchargement allant de 15 à 175 Mbit/s. DansAgence Ecofin – Le sud-africain Telkom annonce le remplacement à travers le pays de son infrastructure télécoms en cuivre par la fibre optique. L’opération sera progressive et permettra d’offrir des vitesses Internet plus importantes aux clients et de résoudre définitivement la question du vol de câble de cuivre. L’opérateur télécoms sud-africain Telkom a entamé le remplacement de son réseau Internet fixe à cuivre par de la fibre optique. L’opération s’inscrit dans une stratégie à long terme développée par l’entreprise, à la fois pour optimiser l’expérience utilisateur et réduire les coûts de maintenance. Le remplacement se fera de manière graduelle. L’objectif stratégique final étant de mettre hors service l’ancienne technologie en cuivre et la remplacer entièrement par la fibre optique. La fibre est une grande partie de la technologie tournée vers l’avenir qui habilitera et élèvera les communautés à travers l’Afrique du Sud, en particulier lorsqu’il s’agit d’aider les particuliers et les entreprises à surmonter certains des nombreux défis infligés par la Covid-19 », a expliqué Steven White, le directeur du développement et de la gestion des produits chez Telkom. Les clients peuvent être assurés que Telkom ne les laissera pas dans l’impasse. Bien que l’abandon de l’Internet basé sur le cuivre soit obligatoire, nous travaillerons avec les clients afin de trouver une solution de connectivité alternative qui répond le mieux à leurs besoins. S’ils ne sont pas sur la fibre, il existe de nombreuses autres options disponibles telles que le LTE sans fil et le Lookalike de ligne fixe “FLLA” », a ajouté Steven White. L’abandon du cuivre par Telkom ne revêt pas uniquement un avantage au niveau des vitesses de chargement et de téléchargement Internet plus rapides, de la connexion Internet plus stable offerte aux clients. L’entreprise se réjouit surtout de résoudre une fois pour toutes le problème de vols de câbles en cuivre qui a longtemps tourmenté les opérateurs télécoms. Lire aussi 20/04/2020 – Afrique du Sud MTN, Vodacom et Telkom, grands gagnants du processus d’attribution de fréquences temporaires = function { 103459506425194’, status false, cookie true, xfbml true}; }; functiond, s, id{ var js, fjs = if {return;} js = = id; = “ fjs; }document, script’, facebook-jssdk’; functiond, s, id { var js, fjs = if return; js = = id; = “ fjs; }document, script’, facebook-jssdk’; by Agence Ecofin Source link . 452 79 111 284 402 44 147 390