Ils’agit de Caroline RiviĂšre et Elsa Gody-Baubau, ĂągĂ©es respectivement de 33 et 38 ans. Leur nomination comme commissaire-priseur judiciaire a Ă©tĂ© actĂ©e par un arrĂȘtĂ© du ministĂšre de ImmĂ©diatement aprĂšs les dĂ©bats, la cour d'assises des mineurs et les jurĂ©s se retirent dans la salle de dĂ©libĂ©rĂ© pour rĂ©pondre aux questions sur la culpabilitĂ© du mineur et sa possible dĂ©libĂ©rĂ© est secret et comporte 2 phases une dĂ©libĂ©ration sur la culpabilitĂ©et une dĂ©libĂ©ration sur la sur la culpabilitĂ©Une majoritĂ© de 6 voix est nĂ©cessaire pour toute dĂ©cision dĂ©favorable au vote se fait par bulletins blancs ou nuls sont favorables au mineur. Si ce dernier est dĂ©clarĂ© non coupable, il est acquittĂ© mis hors de cause. S'il est dĂ©clarĂ© coupable, la cour statue sur la peine le mineur est dĂ©clarĂ© coupable des faits qui lui sont reprochĂ©s, le vote se prĂ©sident de la cour pose d'abord cette question Ă  la cour Y a-t-il lieu de prononcer une condamnation pĂ©nale ?.Le mineur peut en effet ĂȘtre coupable tout en Ă©vitant une sanction pĂ©nale prison, amende,.... Dans ce cas, la cour prononce des mesures Ă©ducatives sur la peine La dĂ©cision est prise Ă  la majoritĂ© absolue des votants au moins 5 voix. Mais la peine maximale doit ĂȘtre prononcĂ©e par la majoritĂ© de 6 la cour dĂ©cide d'appliquer une sanction pĂ©nale prison, amende,... au mineur, elle rĂ©pond Ă  cette question, lue par le prĂ©sident Y a-t-il lieu d'exclure l'accusĂ© du bĂ©nĂ©fice de la diminution de peine ?. Cette question porte sur l'application de l'excuse de minoritĂ© mineur bĂ©nĂ©ficie de l'excuse de minoritĂ©Le mineur ne peut pas ĂȘtre condamnĂ© Ă  plus de la moitiĂ© de la peine encourue par un majeur pour les mĂȘmes faits. C'est-Ă -dire que pour un crime puni de 20 ans de rĂ©clusion, le mineur pourra ĂȘtre condamnĂ© Ă  un maximum de 10 cour dĂ©cide de la hauteur de la peine en fonction de ce critĂšre, mais en l'adaptant et en la combinant avec d'autres par exemple, si la peine encourue par un majeur est la prison Ă  perpĂ©tuitĂ©, la peine prononcĂ©e Ă  l'encontre du mineur ne pourra pas ĂȘtre supĂ©rieure Ă  20 ans de mĂȘme, si l'amende encourue par un majeur est de 75 000 € par exemple, l'amende prononcĂ©e Ă  l'encontre du mineur ne pourra, en principe, pas ĂȘtre supĂ©rieure Ă  37 500 €.Toutefois, en raison de sa minoritĂ©, un mineur ne peut pas ĂȘtre condamnĂ© Ă  payer plus de 7 500 € d' mineur ne bĂ©nĂ©ficie pas de l'excuse de minoritĂ©La cour d'assises des mineurs peut refuser l'application de l'excuse de ce cas, la cour doit prendre une dĂ©cision spĂ©ciale, diffĂ©rente du verdict. Cette dĂ©cision spĂ©ciale doit indiquer les raisons pour lesquelles la cour refuse l'application de l'excuse de cour doit tenir compte de la gravitĂ© des faits et de la personnalitĂ© du mineur qui ne peut pas bĂ©nĂ©ficier de l'excuse de minoritĂ© sera sanctionnĂ© comme un le mineur ne pourra pas ĂȘtre condamnĂ© Ă  plus de 30 ans de prison, mĂȘme si le crime commis peut ĂȘtre puni par la prison Ă  perpĂ©tuitĂ©. Une peine de prison avec une pĂ©riode de sĂ»retĂ© titleContent ne peut pas ĂȘtre prononcĂ©e Ă  l'Ă©gard d'un savoir lorsque le mineur est condamnĂ© Ă  une peine de prison, il est placĂ© dans un quartier spĂ©cial d'une prison quartier pour mineurs ou dans une prison pour cour quitte la salle de dĂ©libĂ©rĂ© seulement lorsque la dĂ©cision finale le verdict est prise. Cela peut prendre plusieurs dĂ©cision de la cour est prononcĂ©e en audience publique. Elle doit indiquer les raisons qui l'ont conduite Ă  prononcer une condamnation ou un acquittement c'est Ă  la dire la mise hors de cause du mineur.Si la dĂ©cision est publiĂ©e dans la presse, elle ne devra pas divulguer l'identitĂ© du mineur et celle de la victime, si elle est le mineur est acquittĂ©, il est remis en libertĂ©, sauf s'il est incarcĂ©rĂ© pour d'autres le mineur est condamnĂ©, le prĂ©sident l'informe de sa possibilitĂ© de faire appel de la dĂ©cision. Il lui indique qu'il dispose de 10 jours calendaires titleContent pour faire appel Ă  compter du prononcĂ© de la peut ĂȘtre fait au nom du mineur par ses savoir si le mineur a Ă©tĂ© acquittĂ© et qu'il a Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ© pour ces faits, il pourra faire une demande d'indemnisation pour dĂ©tention arbitraire dans les 6 mois aprĂšs le prononcĂ© de l' sur la rĂ©paration du prĂ©judice de la victimeUne fois l'audience pĂ©nale achevĂ©e, une audience civile peut suivre. Elle est destinĂ©e Ă  examiner la demande d'indemnisation formulĂ©e par la partie civile titleContent victime.La cour peut dĂ©cider de renvoyer l'audience civile Ă  une date ultĂ©rieure, qu'elle le mineur a Ă©tĂ© reconnu coupable des faits, les juges statuent sur les dommages-intĂ©rĂȘts rĂ©clamĂ©s par la partie civile, sans la participation des cas de condamnation du mineur Ă  une amende ou au versement de dommages et intĂ©rĂȘts Ă  la victime, ce sont ses parents qui devront payer Ă  sa place. unbien au moyen d'une procĂ©dure de mise en concurrence dirigĂ©e par un commissaire-priseur, Ă  laquelle assistent ou peuvent assister les consommateurs, et (16) "enchĂšre publique": une mĂ©thode de vente selon laquelle le professionnel propose, lors d'une manifestation physiquement accessible au public, au moyen d'une procĂ©dure de mise en MĂ©connus du grand public, les commissaires-priseurs ont pour mission d’organiser et d’animer les ventes aux enchĂšres. Particuliers et professionnels peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  faire appels Ă  ces experts. A Lille, les commissaires-priseurs de l’étude Mercier se chargent de ventes volontaires aux enchĂšres publiques et des ventes judiciaires. Qu’est-ce qu’un commissaire-priseur ? Le commissaire-priseur dirige les ventes aux enchĂšres publiques d’objets d’art, de mobilier, de vins ou de vĂ©hicules. Les biens mis en vente sont issus de saisies judiciaires d’entreprises ou de particuliers. Ils peuvent Ă©galement ĂȘtre mis en vente de façon volontaire. Le commissaire-priseur opĂšre dans une salle des ventes ou dans un hĂŽtel de vente. La prisĂ©e » est l’estimation d’objets ou de biens destinĂ©s Ă  la vente. L’estimation permet d’établir un prix de dĂ©part, une mise Ă  prix. S’en suit la vente aux enchĂšres qui permet une confrontation transparente entre l’offre et la demande. Ainsi, le prix du bien est conforme au marchĂ©. Le rĂŽle du commissaire-priseur n’est pas limitĂ© Ă  l’animation de la vente. Il est amenĂ© Ă  organiser les inventaires et les expertises. Il doit Ă©galement organiser des expositions et crĂ©er des catalogues pour les ventes les plus prestigieuses. La plupart des commissaires-priseurs exercent la double activitĂ© vente volontaire et vente judiciaire. Ventes volontaires aux enchĂšres publiques Les ventes volontaires aux enchĂšres publiques peuvent uniquement ĂȘtre organisĂ©es et dirigĂ©es par des commissaires-priseurs exerçant dans une sociĂ©tĂ© commerciale. Ce type de vente est fait Ă  la demande d’un particulier. MĂȘme s’il exerce dans une sociĂ©tĂ© commerciale, le commissaire-priseur n’achĂšte pas pour revendre. Il vend les biens pour le compte d’un client. Il s’agit d’un acte civil. Le rĂŽle de commissaire-priseur est Ă©galement chargĂ© de procĂ©der Ă  l’expertise des biens objets d’art, tableaux, mobilier, vĂ©hicules, matĂ©riels et marchandises. Grande connaissance de l’art, le commissaire-priseur se spĂ©cialise dans un domaine particulier, un type d’objet ou une pĂ©riode spĂ©cifique. Les commissaires-priseurs sont amenĂ©s Ă  vendre tous types de biens Ă  l’exception de biens immobiliers. Ces derniers biens sont rĂ©servĂ©s aux notaires. Ventes judiciaires aux enchĂšres publiques Les ventes aux enchĂšres judiciaires ne rĂ©sultent pas de la volontĂ© du propriĂ©taire de mettre en vente leur bien ou matĂ©riel. Ces ventes sont prescrites par la loi ou par dĂ©cision de justice. Elles sont organisĂ©es Ă  la suite de la saisie d’objets lors de faillites, de redressements judiciaires et de liquidations. Les ventes aux enchĂšres judiciaires ne peuvent ĂȘtre dirigĂ©es que par des notaires ou commissaires-priseurs judiciaires nommĂ©s par le Ministre de la Justice. Commissaire-priseur Ă  Lille Les commissaires-priseurs de l’étude Mercier Ă  Lille vous proposent un service d’expertise gratuit et strictement confidentiel. Sur rendez-vous, trois commissaires-priseurs, sept collaborateurs spĂ©cialisĂ©s et vingt experts se chargent d’estimer vos tableaux, bijoux, vin, meubles et objets de collection. Pour faire estimer vos objets en vue d’une Ă©ventuelle vente, vous pouvez Ă©galement envoyer des photographies par e-mail Ă  expertise ou par courrier Ă  Mercier Maison de Vente, 14 rue des Jardins, 59000 Lille. Vous pouvez prendre rendez-vous Ă  l’étude ou contactant l’étude Mercier par tĂ©lĂ©phone au 03 20 12 24 24. Commissaires-priseurs de Lille et experts de l’étude Mercier Patrick DEGUINES – Commissaire-priseur – Gemmologue – Tableaux anciens – OrfĂšvrerie Pierre DROUIN – Commissaire-priseur – Tableaux modernes – Art contemporain – Design – VĂ©hicules de collection Hugues WATINE – Commissaire-priseur – Mobilier d’art XVII au XIXĂšme siĂšcle – CĂ©ramiques Eric DUGARDIN – Vins et spiritueux Louis DE SUREMAIN – Gemmologue – Bijoux – Numismatique – OrfĂšvrerie Les commissaires-priseurs de Lille peuvent Ă©galement se rendre Ă  votre domicile pour estimer vos biens. Ils se dĂ©placent dans toute la France et l’Europe. Commissairepriseur - vendeur aux enchĂšres diplĂŽmĂ© en France. Le commissaire-priseur dirige la vente publique aux enchĂšres de biens meubles, la prisĂ©e Ă©tant l’estimation d’une chose destinĂ©e Ă  la vente. La vente aux enchĂšres publiques permet l’établissement du juste prix par la confrontation transparente entre l’offre et la demande. Depuis le 1er juillet 2022, il prend, en
I. - La prĂ©sente ordonnance entre en vigueur le 1er juillet 2022. II. - Toutefois, entrent en vigueur le 1er janvier 2019 1° L'article 16 et l'article 14 en tant qu'il concerne la chambre nationale des commissaires de justice. Pour les besoins de l'application de l'article 16 jusqu'au 30 juin 2022, les rĂ©fĂ©rences faites Ă  la profession, aux professionnels, aux commissaires de justice et aux chambres rĂ©gionales, figurant Ă  cet article, dĂ©signent respectivement la future profession de commissaire de justice, les futurs professionnels, les futurs commissaires de justice et les instances locales propres aux huissiers de justice et aux commissaires-priseurs judiciaires ; 2° Les 2° et 3° du I de l'article 24, uniquement en ce qu'ils abrogent les articles 7 ter et 8 de l'ordonnance n° 45-2592 du 2 novembre 1945 susvisĂ©e et les articles 5 et 9 de l'ordonnance n° 45-2593 du 2 novembre 1945 susvisĂ©e. Les mandats des membres de la chambre nationale des huissiers de justice et de la chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires, ainsi que ceux des membres de leur bureau respectif, en fonction Ă  la date de publication de la prĂ©sente ordonnance expirent au 31 dĂ©cembre 2018. Au 1er janvier 2019, entre en fonction la chambre nationale des commissaires de justice, composĂ©e Ă  paritĂ© de membres reprĂ©sentant les commissaires-priseurs judiciaires et les huissiers de justice. Le mandat de ses membres expire au 30 juin 2022. Le patrimoine de la chambre nationale des huissiers de justice et celui de la chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires deviennent le patrimoine de la chambre nationale des commissaires de justice. Les contrats en cours sont repris par la nouvelle chambre nationale. Dans tous les textes lĂ©gislatifs, la rĂ©fĂ©rence Ă  la chambre nationale des huissiers de justice et Ă  la chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires dĂ©signe la chambre nationale des commissaires de justice. III. - Jusqu'au 30 juin 2022, les professions de commissaires-priseurs judiciaires et d'huissier de justice restent considĂ©rĂ©es comme deux professions distinctes, avec chacune leurs offices propres. En consĂ©quence 1° La dĂ©termination des zones et des recommandations prĂ©vues par l'article 52 de la loi du 6 aoĂ»t 2015 susvisĂ©e est distincte pour les deux types d'offices ; 2° Les huissiers de justice et les commissaires-priseurs judiciaires exercent les activitĂ©s auxquelles ils pouvaient se livrer jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente ordonnance, dans les conditions prĂ©vues par leurs statuts respectifs, notamment s'agissant des activitĂ©s de ventes judiciaires et de ventes volontaires de meubles aux enchĂšres publiques ; 3° Les chambres dĂ©partementales et rĂ©gionales d'huissiers de justice et les chambres de discipline des commissaires-priseurs judiciaires remplissent les attributions prĂ©vues par les rĂšgles propres Ă  chacune de ces professions. Toutefois, dans chaque ressort des compagnies de commissaires-priseurs judiciaires, il est créé, Ă  compter du 1er janvier 2019 et jusqu'au 30 juin 2022, une commission chargĂ©e de prĂ©parer le rapprochement des instances reprĂ©sentatives locales des professions d'huissier de justice et de commissaire-priseur judiciaire. Cette commission est composĂ©e, Ă  paritĂ©, de membres dĂ©lĂ©guĂ©s des instances locales reprĂ©sentatives des deux professions. Ses attributions, ses conditions de fonctionnement et les modalitĂ©s de dĂ©signation de ses membres sont fixĂ©es par le dĂ©cret prĂ©vu Ă  l'article 22. Les huissiers de justice et les commissaires-priseurs judiciaires en exercice, qui remplissent des conditions de formation spĂ©cifique prĂ©vues par dĂ©cret en Conseil d'Etat, font suivre leur titre de la mention qualifiĂ© commissaire de justice . Les sociĂ©tĂ©s constituĂ©es pour l'exercice de ces professions ou de l'une d'elles font suivre leur dĂ©nomination sociale de la mention sociĂ©tĂ© qualifiĂ©e commissaire de justice lorsque l'un au moins des associĂ©s exerçant la profession en leur sein remplit ces conditions. Les huissiers de justice, qui disposent d'une expĂ©rience professionnelle en matiĂšre de vente judiciaire de meubles aux enchĂšres publiques, sont rĂ©putĂ©s satisfaire Ă  la formation spĂ©cifique mentionnĂ©e Ă  l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent. Les conditions d'apprĂ©ciation et de validation de cette expĂ©rience sont fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d'Etat. Jusqu'au 31 dĂ©cembre 2018, la chambre nationale des huissiers de justice assure l'organisation de la formation spĂ©cifique destinĂ©e aux commissaires-priseurs judiciaires ainsi qu'aux candidats aux fonctions de commissaires-priseurs judiciaires et la chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires assure l'organisation de la formation spĂ©cifique destinĂ©e aux huissiers de justice ainsi qu'aux candidats aux fonctions d'huissier de justice. AprĂšs cette date, l'organisation de ces formations spĂ©cifiques est assurĂ©e par la chambre nationale des commissaires de justice. Les commissaires-priseurs judiciaires qualifiĂ©s commissaires de justice peuvent exercer en outre, Ă  titre accessoire, les activitĂ©s auxquelles les huissiers de justice pouvaient se livrer jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente ordonnance. La formation professionnelle initiale des commissaires de justice et ses conditions d'accĂšs sont mises en place selon des modalitĂ©s de nature Ă  permettre la nomination de nouveaux professionnels remplissant les conditions de qualifications professionnelles propres aux commissaires de justice au 1er juillet 2022 et dans des conditions propres Ă  Ă©viter toute discontinuitĂ© dans les flux de nouveaux professionnels. IV. - A compter du 1er juillet 2022, les huissiers de justice et les commissaires-priseurs judiciaires sont rĂ©unis au sein de la profession de commissaire de justice. En consĂ©quence 1° L'ensemble des offices d'huissiers de justice et de commissaires-priseurs judiciaires deviennent des offices de commissaire de justice ; 2° La dĂ©termination des zones et des recommandations prĂ©vues par l'article 52 de la loi du 6 aoĂ»t 2015 susvisĂ©e est unifiĂ©e ; 3° Les professionnels en exercice, sous rĂ©serve de remplir les conditions de la formation spĂ©cifique prĂ©vue au septiĂšme alinĂ©a du III, deviennent commissaires de justice et en prennent le titre, sans que leur nomination soit rĂ©itĂ©rĂ©e par arrĂȘtĂ© du garde des sceaux, ministre de la justice. Ils exercent l'ensemble des activitĂ©s prĂ©vues Ă  l'article 1er ; 4° Les sociĂ©tĂ©s anciennement titulaires d'un office d'huissier de justice ou de commissaire-priseur judiciaire, y compris les sociĂ©tĂ©s pluriprofessionnelles d'exercice, sont rĂ©gies par les dispositions applicables aux sociĂ©tĂ©s titulaires d'un office de commissaire de justice. La dĂ©nomination sociale de ces sociĂ©tĂ©s est suivie ou prĂ©cĂ©dĂ©e de l'indication de la profession de commissaire de justice lorsque l'un au moins des associĂ©s exerçant la profession en leur sein remplit les conditions de qualifications professionnelles mentionnĂ©es au 5°. Leur objet social est mis en adĂ©quation dans les conditions applicables Ă  chaque forme de sociĂ©tĂ© ; 5° Peuvent seules ĂȘtre nommĂ©es dans un office de commissaire de justice les personnes remplissant soit les conditions de qualifications professionnelles prĂ©vues pour l'accĂšs Ă  la profession de commissaire de justice, soit Ă  la fois les conditions de qualifications professionnelles pour l'accĂšs aux professions d'huissier de justice ou de commissaire-priseur judiciaire et les conditions de la formation spĂ©cifique prĂ©vue au septiĂšme alinĂ©a du III. Cette formation spĂ©cifique est assurĂ©e par la chambre nationale des commissaires de justice jusqu'au 30 juin 2026 ; 6° Entrent en fonction les chambres rĂ©gionales des commissaires de justice. Le patrimoine de chaque chambre dĂ©partementale et de chaque chambre rĂ©gionale des huissiers de justice ainsi que celui de chaque chambre de discipline des commissaires-priseurs judiciaires deviennent le patrimoine de la chambre rĂ©gionale des commissaires de justice dans le ressort duquel ces chambres ont respectivement leur siĂšge. Les contrats en cours sont repris par la mĂȘme chambre rĂ©gionale. Dans tous les textes lĂ©gislatifs, les rĂ©fĂ©rences aux chambres dĂ©partementales et aux chambres rĂ©gionales des huissiers de justice, ainsi qu'aux chambres de discipline des commissaires-priseurs judiciaires, dĂ©signent les chambres rĂ©gionales des commissaires de justice. Lorsque la personne poursuivie disciplinairement exerçait dĂ©jĂ , au 30 juin 2022, soit la profession de commissaire-priseur judiciaire, soit la profession d'huissier de justice, la juridiction disciplinaire est, jusqu'au 31 dĂ©cembre 2025, composĂ©e d'au moins un membre issu de la mĂȘme profession. Tant qu'ils ne remplissent pas les conditions de formation Ă  la profession de commissaire de justice, les professionnels en exercice au 1er juillet 2022 conservent leur titre d'huissier de justice ou de commissaire-priseur judiciaire. Ils ne peuvent exercer que celles des activitĂ©s mentionnĂ©es au I et au II de l'article 1er auxquelles ils pouvaient respectivement se livrer jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente ordonnance. Sous cette rĂ©serve, ils sont soumis Ă  l'ensemble du statut de commissaire de justice. V. - A compter du 1er juillet 2026, les professionnels en exercice ne remplissant pas les conditions de la formation spĂ©cifique mentionnĂ©e au septiĂšme alinĂ©a du III cessent d'exercer. En consĂ©quence 1° La vacance des offices individuels concernĂ©s est constatĂ©e par arrĂȘtĂ© du garde des sceaux, ministre de la justice ; 2° Les consĂ©quences de la cessation d'exercice, prĂ©vue au premier alinĂ©a du prĂ©sent V, de l'associĂ© d'une personne morale titulaire d'un office de commissaire de justice sont celles prĂ©vues en cas d'atteinte, par un associĂ© en exercice, de la limite d'Ăąge prĂ©vue pour l'exercice de la Ă  l’article 40 de l’ordonnance n° 2022-544 du 13 avril 2022, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022. Se reporter aux conditions d’application dudit article.
Lesconseils de prud’hommes sont compĂ©tents pour connaĂźtre les litiges individuels nĂ©s Ă  l’occasion d’un contrat de travail de droit privĂ©. Dans le cadre de cette mission, les conseillers prud’hommes sont chargĂ©s de la conciliation des parties et, Ă  dĂ©faut, du jugement des affaires. Pour certaines situations urgentes, il existe
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Lecommissaire-priseur judiciaire doit Ă©galement adjuger Ă  la derniĂšre enchĂšre. Les frais d’une vente volontaire sont fixĂ©s librement par le commissaire priseur tandis que les frais ici d’une vente judiciaire sont fixĂ© par un dĂ©cret. Actuellement le taux est de 14,40%.
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elles sont dirigees par le commissaire priseur